Atelier n°1 : jeu avec les perspectives et les reflets.

Debouts ou allongés, les élèves sont invités à exploiter leurs talents de comédiens et de mimes dans un but : créer le trouble et questionner ceux qui découvriront la photo une fois exposée dans une orientation qui donne le vertige.

Alors ? Ont-ils réussi à vous piéger ?

« ‹ 2 de 6 › »

Atelier n°2 : histoire des techniques photographiques et bricolage.

Grâce à un épisode de « C’est pas sorcier » les élèves découvrent la photographie argentique et ses bases communes avec la photographie numérique.

Puis ils quittent leur place de spectateurs pour devenir acteurs et bricoleurs : munis de boîtes à chaussures, de tubes de chips, de papier calque et de peinture noire acrylique, les apprentis photographes fabriquent des sténopés.

Quand les dispositifs fonctionnent à la perfection et qu’on est fier d’avoir produit, on comprend brusquement beaucoup mieux les explications de Fred et Jamy.

« ‹ 3 de 4 › »

Ateliers n°3 : recherches autour du roman photo et de l’autoportrait photographique.

Les élèves explorent par eux-même grâce à des recherches menées sur internet. Ils apprennent, entre autres, à distinguer le selfie de l’autoportrait. Puis ils choisissent et commencent à esquisser leur projet final.

« ‹ 6 de 6 › »

Atelier n°4 : Manipulations des pellicules et appareils.

Seul pour l’autoportrait ou en groupe pour le roman photo, les élèves s’emparent des appareils photo argentiques. On apprend à réfléchir avant de déclencher. Pas question de mitrailler comme on peut le faire avec du numérique. C’est tout un apprentissage. Les prises de vues ont lieu sur la plage, dans le quartier ou dans le collège.

Atelier n°5 : à la découverte du matériel du laboratoire de développement photographique.

A l’aveugle, les élèves s’entraînent au développement des pellicules.

Il faut s’habituer à manipuler le matériel dans le noir complet avant de le faire pour de vrai.

Place enfin, au développement des pellicules et au développement des photos… Comme des pros !